Être avocat et expert judiciaire, c’est possible : les leçons à en tirer
L’avocat peut être inscrit sur une liste d’experts judiciaires, a estimé en septembre 2018 la Cour de cassation, et bénéficier jusqu’à fin 2018 de la disposition transitoire qui permet d’être référencé en tant qu’avocat médiateur sur la base de l’expérience dans l’annuaire du Centre national des médiateurs avocats. Autant de démarches utiles pour valoriser sa palette de compétences sous une seule marque : la « double casquette » permet de mieux se positionner sur le marché et aussi d’améliorer son référencement sur le net. Lire notre article paru dans la LJA le 21/9/18.
A la recherche du nom idéal, citations d’Image juridique
Image Juridique a été interviewée par Ondine Delaunay, pour la LJA magazine, de juillet Aout 2018 Citations : Sur les noms de famille : Brigitte Van Dorsselaere, fondatrice de l’agence Image Juridique, analyse : « le choix des noms de famille des fondateurs, encore le plus courant, peut présenter des difficultés si le nombre d’associés croît, si une personnalité disparaît ou prend sa retraite ou quitte le cabinet pour monter une autre structure ou est touchée par un scandale… ». Sur les noms de fantaisie : Brigitte Van Dorsselaere poursuit : « Le nom de fantaisie doit être compréhensible pour la cible de clients du cabinet, adapté à sa stratégie de développement, facilement prononçable, orthographiable et mémorisable, traduisible sans danger en langues étrangères, durable dans le temps et évolutif, déclinable en logo, et surtout aujourd’hui facilement transposable sur le net et efficace en termes de référencement ». Les noms trompeurs ou ceux qui comportent des superlatifs et comparatifs avec d’autres cabinets sont également à proscrire », ajoute Brigitte Van Dorsselaere. » A lire P 10, rubrique Eclairage, La LJA Magazine, juillet/Aout 2018, n°55
Le questionnaire, un outil pour mieux cerner son image
Au cours de la vie du cabinet, notamment lorsque les associés ont à s’interroger sur l’avenir de la structure et leur stratégie de développement, il est essentiel de savoir comment est perçu le cabinet : qu’elle est son image, tant en interne qu’en externe ? S’est elle modifiée au fil du temps ? Le recours aux questionnaires permet de prendre en compte le regard des autres, d’être ainsi plus éclairé sur son positionnement et de prendre les mesures utiles pour maitriser son image. Lire notre article paru dans la LJA le 6 juillet 2018.
J-8 pour mettre votre site Internet en conformité avec le RGPD au 25 mai prochain
Il ne reste que 8 jours aux cabinets d’avocats pour se mettre en conformité avec le RGPD, qui vise à harmoniser les règles relatives à la protection des données dans tous les Etats membres de l’UE. Au-delà de l’impact sur l’organisation de la structure et les nouvelles missions de l’avocat, le texte impose aux responsables de traitement, sous peine de lourdes sanctions, de prendre certaines mesures en ce qui concerne la communication en ligne : les sites, au niveau des contenus et des formalités à accomplir, et aussi les opérations de e-mailings. L’occasion pour les cabinets d’avocats de souligner l’implication de la profession dans la protection des données nominatives et de faire progresser le cabinet dans sa maturité numérique. Lire notre article paru dans la LJA le 18 mai 2018
Construire l’arborescence de votre site pour hiérarchiser le discours du cabinet
L’arborescence du site est loin d’être neutre. Bien au contraire, cette étape de construction d’un site, ou de sa refonte, est fondamentale : si le site doit contenir toutes les informations utiles pour présenter le cabinet, celles-ci doivent être priorisées et bien réparties pour que le site : mette en avant ce qui distingue le cabinet de ses concurrents, réponde à la demande de l’internaute et soit bien référencé. Lire notre article paru dans la Lettre des juristes d’affaires du 23 mars 2018
Créer des mini sites ou des applis sur des sujets d’actualité pour renforcer votre visibilité
Au-delà des sites vitrines et des sites dédiés à des secteurs d’activité économiques, la tendance est aujourd’hui de créer des mini sites, ou des appui mobiles dédiés à une problématique juridique bien spécifique, de préférence d’actualité.